- Nox - A vous de rallumer l'espoir.

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 Tuppence Beresford, the artist

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MessageSujet: Tuppence Beresford, the artist   Tuppence Beresford, the artist Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 16:21

Tuppence Beresford, the artist Pres_t13

Tuppence Beresford, the artist Bio10

Spoiler:
Prénom complet: Tuppence, Agatha
Nom: Beresford
Surnom: Tupp' (prononcez toup)
Age/date de naissance: 03 mars 1980
Année : Sixième année à la rentrée.
Maison : Serdaigle (Poufsouffle)
Statut : Fille d’une moldue et d’un sorcier
Baguette magique : 27 cm, bois d'aubépine et ventricule de cœur de dragon
Balai : Tonnerre-de-Zeus
Pouvoirs spéciaux : Ce serait cool mais pas que je sache
Patronus : Un écureuil
Langues parlées : Anglais, c'est d'jà pas mal


Tuppence Beresford, the artist Bio210

"Approchez-vous de moi et vous verrez un truc grand, maigre, indéfinissable et inclassable."

Les meilleurs adjectifs qui pourraient qualifier Tuppence sont longue et ambiguë. La maigreur de cette jeune fille n’a d’autre effet que de la faire paraître plus grande que ce qu’elle est déjà. 1,69m à son âge et pour une fille, c’est déjà beaucoup.

Lorsqu’elle ne porte pas de casquette ou de bonnet, il saute aux yeux que les coiffeurs n’ont pas dû faire fortune avec elle. Pendant longtemps, jusqu’à la quatrième année, elle les a portés courts. Après, elle se résolut à devenir un peu plus féminine et les laissa un peu pousser, ce qui colle mieux à son fin visage et à son teint clair.

Désormais, elle se coupe les cheveux elle-même, de manière volontairement asymétrique pour obtenir un effet décoiffé permanent. Ils sont noirs, raides comme des
baguettes de tambours et encadrent mal son fin visage.

Depuis son entrée en cinquième année elle se maquille de manière assez lourde autour des yeux. Leur vert ressort énormément grâce au côté charbonneux apporté par l’ombre à paupière. Elle a un nez court et plutôt bien proportionné.

Look androgyne. Ses fringues sont toujours classes et impeccables.

Tuppence Beresford, the artist Bio810


Moi j'aime:Le Liverpool FC, Steven Gerrard, le rock, les Stones (même si je suis de Liverpool et qu'il ne faut pas le crier trop fort ), Led Zep, Gustav Klimt, Courbet, Manet, Sisley, et tous ces peintres qui ont su faire bouger l'art, le foot, jouer de la guitare, dessiner, peindre... ça c'est pour mon côté moldu. Les mecs, les filles.

Tuppence Beresford, the artist J_aime10

Côté sorcier, j'aime bien: Les Bizzar Sisters même s'ils se font vieux comme les Stones, Les Hyppogriffes furieux même si leurs chansons manquent un peu de texte, le cinémagik, les licornes (un peu de poésie ne fait pas de mal, inventer
des sorts qui ne servent à rien, lancer mon ,patronus juste pour le
regarder courir, tenter de créer des potions moi-même ce qui se traduit
parfois par un séjour à l'infirmerie. Les sorciers, les sorcières, le quidditch.

Tuppence Beresford, the artist Bio910

Ce que j'aime pas: Le manque d'ouverture d'esprit, l'injustice, les jemenfoutistes, les cons, les blasés de la vie, le bowling, les bourges, les faux-bourges,
les faux-derches, la traitrise...

Tuppence Beresford, the artist Bio31110

"Je ne viens pas d'une famille. Je suis issue d'une soirée beuverie entre étudiants. Ma famille à moi elle est unique, décomposée et restructurée autour de deux noyaux.Pas simple à expliquer, alors, accrochez-vous."

Joanne, la mère.
Joanne Smelt était une moldue comme les autres. Elle avait grandi entourée d’amour dans un confort tout à fait satisfaisant si l’on en croît les canons de la société anglaise d’aujourd’hui. Ses parents les avaient choyées elle et sa sœur Catherine. Joanne était la cadette de six ans. Elle avait eu une enfance normale, dans une famille normale, avait suivi une scolarité normale et n’aspirait à rien d’autre que de poursuivre sa vie dans la plus grande normalité. Cependant, elle ne mit pas longtemps à comprendre qu’elle passerait la plus grande partie de sa vie à courir après la normalité le jour de ses 20 ans.



Joanne est une personne qui a su donner un sens précis à la notion de normalité, qui pour elle, ne rime pas avec monotonie et discrétion. La normalité (normale) au sens de ses parents lorsqu’elle est devenue adolescente est devenue vite ennuyeuse. Alors, suivant les carcans de la société individualiste et capitaliste dans laquelle elle vivait, Joanne a fait en sorte de lui donner un sens propre et personnel.

Egoïste dans l’âme, il fallait qu’elle soit celle qu’on voit en premier, qu’on remarque tout de suite dans une pièce, celle à qui on s’intéresse. L’amour inconditionnel que lui avaient porté ses parents n’y était pas étranger. A sa sortie du lycée, elle ne sut trop que faire et s’inscrivit dans un centre de beaux-arts. La folie adolescente lui était passée, et elle regretta profondément ses actions passées et le mal qu’elle avait pu faire à ses parents à qui elle reconnaissait la sagesse d’avoir su ériger la normalité en vertu familiale. Ses parents lui pardonnèrent ses écarts adolescentes et acceptèrent ses desseins artistiques.

Mais pour ses vingt ans, un évènement vint bousculer la tranquillité de son début de vie adulte. Sa sœur ramena un énergumène à la maison, un certain Albor dont le seul prénom égratignait la vie paisible de la famille Smelt.

Sa sœur se maria avec lui dont on apprit qu’il était sorcier. Cette idée répugna Joanne qui avait du mal à concevoir une telle chose. Catherine cristalisa sur elle toute l’attention de ses parents. Ses parents n’en avaient plus que pour elle. Alors Joanne décida de quitter sa famille pour partir à Liverpool, s’inscrire dans la prestigieuse Liverpool School of Art.

La vie n’était pas simple à Liverpool. Joanne fut obligée de travailler pour payer ses droits d’inscription chaque année. On ne trouve pas 2000£ du jour au lendemain, et elle mettait un point d’honneur à ne plus rien demander à ses parents. Alors, elle enchaîna divers petits boulots et vécut de manière très austère. Elle partageait une chambrée avec sa meilleure amie. Mais de tout cela elle ne se plaignait pas. C’était le lot commun, le quotidien, la vie normale des étudiants anglais.

Durant cette période, elle échangea beaucoup de lettre avec ses parents. Aussi, lorsqu’elle fut diplômée, elle se précipita à Londres pour annoncer la bonne nouvelle. Mais en fait de bonne nouvelle, ce fut elle qui en reçut une : sa sœur avait eu un bébé, et toute l’attention était focalisée sur elle. Qu’à cela ne tienne. Elle repartit à Liverpool. Là-bas, quelques mois plus tard, elle trouva un travail très intéressant à la Tate Gallery. Bonne nouvelle, belle nouvelle qu’elle s’empressa d’annoncer à ses parents. Malheureusement, leur esprit était pris par le décès de leur beau-fils. Une dispute éclata dans la famille et Joanne décida de tourner définitivement la page. Jamais plus elle ne les revit.

Joanne et Lannig

Joanne était une jeune femme comme les autres qui avait retrouvé un semblant de vie normale depuis qu’elle coupât les ponts avec sa famille. Comme les autres elle sortait le soir, faisait la fête avec ses amis. Un soir, dans un pub, à moitié pinte, un jeune homme aux yeux noirs vint s’asseoir à ses côtés. Il se nommait Lannig Beresford, était né à Liverpool, et se moqua de son accent londonien. Ce qui devait se passer arriva : ils passèrent la nuit ensemble. Une nuit sans promesses, juste comme ça.


Huit mois plus tard, Lannig vint assister à une rétrospective sur Klimt, organisée à la Tate… Il croisa Joanne et fut sous le choc. Les rondeurs de la jeune femme le laissèrent pantois, incapable de prononcer le moindre mot. Il lui fallut quelques minutes pour accepter de comprendre ce qui était arrivé. Après une dispute, quelques mots acerbes et empreints de méchanceté, Lannig finit par la traîner en dehors de la gallerie par un moyen assez peu… conventionnel, disons simplement magique.

Là, Lannig révéla à Joanne son statut de sorcier et la jeune femme s’évanouit et tenta au mieux de rassurer la jeune moldue qui pleurait comme une madeleine. Selon Lannig l’instant était grave et il s’agissait d’être responsable. Joanne détestait les sorciers qui faisaient exploser toute normalité dans sa vie ? Lannig haïssait les moldus pour leur étroitesse d’esprit ? Hé bien il faudrait passer outre pour trouver une solution satisfaisante pour l’enfant.



Le clash

Dans son état, les amis ne suffisaient pas. Il lui fallait renouer avec sa sœur qu’elle comprenait mieux à présent, même si elle ne concevait toujours pas qu’elle ait pu tomber amoureuse d’un sorcier. Joanne avait beau être douée dans son domaine, elle n’en était pas mûre pour autant. Son fond égocentrique de petite fille gâtée pourrie ressortit. Elle ne s’imaginait même pas que sa famille pourrait lui en vouloir pour l’attitude qu’elle avait eue deux ans auparavant.

Et à son plus grand désarroi, sa sœur fut la première à lui tourner le dos. « Après tout ce que tu as pu me jeter à la figure tu as le culot de venir ici ? Et de me demander de l’aide en plus ? Non, mais je rêve ! Sors de chez moi et n’y remets-jamais plus les pieds ! »

Bien que plus compréhensifs, les parents de Joanne ne l’aidèrent pas beaucoup plus. La leçon de morale qu’ils tentèrent de faire à leur fille ne passa guère mieux que les cris de Catherine.

Joanne se retrouva donc seule avec son bébé, et se décida à ne plus jamais entrer en contact avec sa famille. Elle et Lanig élevèrent Tuppence en y mettant chacun du sien.



Dans la famille beresford je demande:

"Jeanice et Jack.
Mes grands-parents. Ce sont les seuls que je connaisse. Je les aime bien. En bons Gryffondor qu'ils étaient, ils m'ont plutôt bien acceptée dans leur vie. les vacances chez eux c'était fun, magie, musique à gogo, dehors les aristos. J'ai oublié de le préciser, la famille Beresford ne fait plus partie des sangs-purs depuis belle lurette, mais ses racines plongent loin dans l'histoire anglaise. Jack, féru d'histoire, est remonté jusqu'à l'invasion de l'Angleterre par Guillaume de conquérant. Vous y croyez à ça vous? J'ai un ancêtre français. trop la classe!

Lannig et l'autre.
L'autre, c'est Marion. Ma belle-mère. Je la déteste. Voilà tout ce qu'il y a à en dire...


Dernière édition par Tuppence Beresford le Lun 10 Oct 2011 - 18:38, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Tuppence Beresford, the artist   Tuppence Beresford, the artist Icon_minitimeDim 9 Oct 2011 - 16:49

Papa l'a rencontrée deux ans après ma naissance à Londres. En fait elle lui
est tombée dessus au sens propre lors d'une intervention contre des mages noirs qui en avaient après elle. Ils ne se sont plus quittés... à mon grand regret. C'est égoïste de dire ça, mais après tout, si elle ne m'appelait pas "ça" en parlant de moi, je suis sûre que ça irait bien mieux entre nous. Je ne l'aime pas mais papa si et normalement ça devrait me suffire. Je sais qu'il est malheureux quand on se dispute toutes les deux alors... Je fais des efforts.



Owen et Jacob:Mes demi-portions. Je ne les vois qu'à Poudlard et lorsque je viens chez eux pour le week-end ou les vacances. Ils sont tous les deux à Serdaigle, comme leur mère (ce qui la ravit) et moi. Ils ont douze et treize ans maintenant. Ce sont deux fripouilles, je les adore même s'ils sont trop sages."

Tuppence Beresford, the artist Arbre_11

Tuppence Beresford, the artist Caract10

On change... un peu quand même.

1ère année:

Cette année, je ne l'ai pas vue passer. je me suis sentie tout de suite comme un poisson dans l'eau à Serdaigle, même si ma répartition m'a étonnée. Je n'ai jamais été du genre Granger. j'ai un énorme respect pour cette fille qui aurait pu sans problème se retrouver chez nous... Mais moi là, je fais un peu tâche. C'est sûr que j'aime bien lire et écrire, mais c'est dans un but précis. je suis pas brillante moi et je ne le serai jamais. Peut-être n'ai-je pas tout compris aux valeurs de ma maison...

J'aime ma maison, lui rapporter des points. Mais ça s'arrête là. Elle m'a apporté la liberté que j'aime chérir, je lui apporte ma contribution, mon enthousiasme et mon goût prononcé pour la justice, mais stop. Durant cette année, j'ai accumulé un nombre impressionnant de retenues avec Rusard.

Côté histoire contemporaine c'est le top: le célèbre Harry Potter a débarqué à Poudlard! Il est cool et puis vachement courageux le gars. Ce qu'il a fait pour la pierre philosophale restera dans les annales.


2ème année:

Je me suis faite beaucoup plus bruyante. N'importe qu'elle excuse était
bonne pour faire la troll dans les couloirs et me venger des retenues que Rusard m'avait infligé l'année d'avant. Inutile de préciser que j'en ai eu à peu près autant. A part ça, mon amitié avec les filles de ma promo s'est renforcée. Chacune dans sa différence apporte beaucoup aux autres. Nos différences sont notre force.


Côté ragots, il se murmure au château qu'Harry Potter et ses deux potes ont eu affaire avec un basilic dans la Chambre des Secrets... ce types est en train de devenir une véritable légende vivante!

3ème année:

Les choses s'animent un peu entre filles. On commence à ressentir et à voir
les changements que suppose notre âge. Cela implique aussi le début des travaux de commérages sur les autres espèce de mamiphères femelles que contient le château, et c'est pas ce qui manque! Ah ça y va en salle commune. et quand on a bien terminé avec les filles, on commence à passer aux mecs. Surtout avec les mecs des années supérieures... Les filles, c'est comme ça. "Waouh, il trop beau lui!" très subtil comme
remarque. Et ça ne faisait que commencer... Parallèlement à cela, mon intérêt pour le quidditch grandit de plus en plus. Je me prends à rêver d'être la nouvelle star de l'équipe. Evidemment, à cet âge, on rêve de sommet... Mais malheureusement, je n'ai pas trouvé le courage nécessaire pour passer les tests d'entrée dans l'équipe. Alors, je me contente de croiser les bras sur la rambarde des tribunes et j'imagine que je suis là-haut, à leur place, sur mon balai...
Parfois je sors même du papier, un crayon, et je dessine les joueurs de l'équipe que je leur donne en salle commune. c'est là que j'ai compris que Wilson avait raison: j'ai un certain talent pour le dessin.


Et puis cette année là, ben, il y a eu Lupin... Lui, il a réussi à me faire croire que j'avais quelques capacités dans sa matière. Mais ce qui restera dans mes souvenirs avant tout, c'est, les détraqueurs et Sirius Black... Brrrrr....

4ème année:

Les caricatures des profs que je vendais sous le manteau m'ont assuré
quelques bièraubeurre à Pré-Au-Lard. C'était déjà ça. Je n'étais pas une fille populaire, j'étais déjà bien trop singulière. Des amis véritables c'était toujours les mêmes, celles qui m'acceptaient telle que j'étais: différente, encore une fois. Différente dans mes vêtements, mon rejet de l'uniforme, ma tendance anticonformiste. Souvent on me trouvait cool, mais trop excentrique.
J'ai décidé de laisser pousser un peu mes cheveux pour me donner un air plus féminin, mais pas pour rentrer dans le rang. Je tenais bien trop à ma liberté.
Les cours? No comment, toujours pareil.

Pour le Tournoi des Trois Sorciers j'ai suivi les jumeaux Weasley. Ils avaient leur commerce de paris et mois de dessins des participants... Chacun son business. Tout s'était vachement bien déroulé sauf... la fin. P*****, Diggory quoi! Ce mec n'aurait pas fait de mal à une mouche!

L'été a été riche en expériences pour moi. A Liverpool, j'ai rencontré Lewis,un mec cool et sympa de seize ans. Un vieux! Mortel! Et c'est cet été là que j'ai découvert ce qu'était un baiser. Mais attention, un vrai, avec la langue et tout! Résultat: d'abord on essaie de faire croire à l'autre qu'on a déjà fait ça des centaines de fois... Mais c'est difficile de cacher les centaines de frissons qui s'emparent de votre corps. Tout vient tout seul. Et puis, une fois ce moment délicat passé, on se rend compte ... qu'on a envie de recommencer. Je n'étais pas spécialement amoureuse, je pense que je m'en serais rendue compte. Il
paraît que ça fait des choses bizarres au creux de l'estomac... Je sais pas si je suis spécialement pressée que ça m'arrive. En tous cas, l'art du baiser n'avait plus aucun secret pour moi.


Sinon, ben je sais pas trop qui croire. Potter, Dumbledore ou le Ministère? Maman s'en tape royalement, elle ne prend pas au sérieux notre monde. Papa a l'air grave. Son regard me dit que Potter dit vrai...

5ème année:

Je n'ai pas arrêté de dessiner. Tout était prétexte à sortir un crayon de
ma trousse. Mes résultats se sont vraiment améliorés. J'ai fait quelques efforts notables dans les matières importantes aux yeux de papa, comprenez par là, celles nécessaires pour devenir auror: DCFM, sortilèges... Pour le reste... F...!

Ombrage a calculé mon trafic de dessins et m'a collée en retenue la garce! Surtout qu'à côté d'elle, Rusard passerait presque pour un botruc!

En juin j'ai même réalisé un portrait d'Owen, mon petit frère. J'ai utilisé ce dessin pour envoyer mes épreuves à Wilson. Il a accepté de m'engager cet été pour réaliser les illustrations d'un livre d'enfants. Le tout en collaboration avec Virginia Cartwright! Quand même! Bon, vous ne savez pas qui c'est, c'est normal, vous n'êtes pas moldus...


L'été 2006


Tuppence Beresford, the artist Vac10

Tuppence Beresford, the artist Vac310

Tuppence Beresford, the artist Vu1 La musique de l'été (ou de mes vacances): Suggababes

Tuppence Beresford, the artist Vu1 Meilleur Moment: Quand Wilson m'a dit que mon ouvrage allait être publié! "Carnet de croquis par Tuppence Beresford"

Tuppence Beresford, the artist Vu1 Pire moment: Quand j'ai travaillé avec modèle pour une série de planches de styles différents: BD, sanguine et encre de Chine.

Tuppence Beresford, the artist Vu1 Mes vacances:

Le 7 juillet je me suis rendue pour la première fois dans le bâtiment de Wilson. C'est un ami de ma mère, ils avaient étudié ensemble à la Liverpool School of Art. Je le connais depuis que je suis petite. Il toujours dit de moi que j'avais un certain talent pour le dessin, et que c'était dommage que je ne l'exploite pas. En juin dernier, il m'a demandé de lui envoyer des planches "féériques" comme il les appelle. Il les a montrées à ses proches collaborateurs dont Virginia Cartwright.

J'ai été embauchée pour faire les illustrations d'un livre pour enfants. En même temps, Wilson et Virginia m'ont appris beaucoup de choses sur la technique. Ils m'ont fait travailler différents types de dessins. Wilson a insisté pour que je fasse plusieurs projets avec Virginia. Intéressé par les esquisses que je faisais en parallèle, Wilson m'a lancé un défi: réaliser trois dessins de Virginia à l'encre de Chine, à la sanguine et un en style bande dessinée. Si je réussissais à faire quelque chose de valable... il y avait une publication à la clé.



Alors, les rendez-vous ont commencé avec Virginia. C'était une professionnelle avertie question dessin, son coup de crayon reconnu, conclusion: je ne regorgeais pas spécialement de confiance en moi. L'avoir comme modèle était un supplice. Plus les jours défilaient, plus elle se faisait avare en conseils et plus mes traits étaient fébriles. Elle était parfaite, expressive, réservée, provocante ou endormie. Je n'avais aucune excuse à mon inefficacité. Au bout d'une semaine, je compris qu'elle jouait sciemment avec moi. Me pousser à bout était la meilleure méthode pour m'apprendre à prendre sur moi, oublier les enjeux, et les histoires d'argent dans le métier. Voilà que j'étais prise. Wilson l'avait choisie exactement pour ça: utiliser l'estime que j'avais de son travail pour que j'apprenne à considérer le mien sans me soucier des autres. Je me pris au jeu et je dois dire que j'ai fait pas mal de progrès durant
cette période. Travailler avec elle était plutôt agréable.

Elle n'était pourtant pas très affable quand il s'agissait de dessiner.
M'avoir avec elle n'était sans doute pas le rêve, j'ai dû la ralentir en
lui demandant tous ces conseils. A part ça, elle n'a pas trop avancé
sur ses propres illustrations qui étaient autrement plus difficiles que
les miennes... Embrassée, ça y est je l'avais embrassée cette carrière
qui me tendait les bras. Le 17 Août.



Oui. Je viens d'apprendre que Wilson avait apprécié mon essai et considérait que mon défi était relevé et avait obtenu la publication de mon carnet de croquis. Après quelques corrections et quelques ajouts il sortira.
Virginia m'a envoyé la couverture pour me demander comment je la trouvais... C'étaient vraiment les vacances les plus enrichissantes de ma vie. J'avais gagné une jolie somme en livres, et surtout, j'avais beaucoup appris... Confiance, difficultés, esprit, motivation, concentration. Voilà ce que j'en ai retiré.



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MessageSujet: Re: Tuppence Beresford, the artist   Tuppence Beresford, the artist Icon_minitimeJeu 13 Oct 2011 - 14:28


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MessageSujet: Re: Tuppence Beresford, the artist   Tuppence Beresford, the artist Icon_minitime

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