- Nox - A vous de rallumer l'espoir.

La 6eme année touche presque à sa fin à Poudlard, le trio de Gryffondor, toujours dans le coma, ne peut rien faire contre l'avancée des Mangemorts...A vous de vous battre pour faire gagner votre camp !
 
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 Erik Syginaar [Terminée]

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MessageSujet: Erik Syginaar [Terminée]   Erik Syginaar [Terminée] Icon_minitimeJeu 20 Oct 2011 - 14:14

Erik Neils Syginaar
~ Âge : 28 ans
~ Date et lieu de naissance : Le 5 Février 1968 à Copenhague
~ Célébrité de l'avatar : Bradley Cooper
~ Activité : Infirmier-assistant à Poudlard
~ Particularité : Cracmol

~ Description du Physique ~
Des cheveux bruns assez épais coupés courts, une barbe de trois jours constamment sur son visage, de légères pattes d'oie qui se creusent quand il sourit; Erik est loin des adolescents bellâtres aux cheveux mi-longs qu'il voit passer à l'infirmerie. Il est beaucoup plus proche de l'homme qui commence à avoir vécu, les épreuves qu'il a traversé lui ayant quand même donné un léger coup de vieux. Mais son sourire, et cette lumière dans ses yeux bleus, soulignés par une fine frange de cils, ne peuvent laisser aucun doute sur cette jeunesse qu'il possède toujours. Bon sang, il n'a même pas encore la trentaine ! Abordant assez souvent une expression sereine, il n'est pas rare de le voir sourire, ni même de le voir rire.
Mesurant 1m82, il n'est pas particulièrement musclé, mais pas particulièrement fin non plus. Disons qu'il possède le strict minimum niveau musculature. Adepte du duo chemise/jean, il est pourtant plus courant de le voir porter du noir quand il est à Poudlard, couleur permettant la plupart du temps de dissimuler les différentes tâches auxquelles il peut avoir droit quand il travaille. De plus, il n'est pas non plus rare de le voir avec un tablier blanc, couvert de marques qui ne partent pas, même après plusieurs lavages intensifs, lorsque le boulot s'annonce assez "sale" -sait-on jamais, les gros incidents arrivent n'importe où...
~ Description du Caractère ~
Malgré les évènements qui sont survenus dans sa vie jusque là, Erik est quelqu'un d'assez jovial, qui semble profiter de sa vie tant qu'elle est là. Tentant souvent de faire ami-ami avec les élèves, que ça soit pour les rassurer ou juste pour les connaître un peu mieux, il essaye aussi de se rapprocher du corps enseignant de Poudlard, parfois en vain. Mais en réalité, tout cette joie cache la profonde tristesse qu'il s'efforce de camoufler du mieux qu'il le peut. Le temps n'est pas encore suffisamment passé pour qu'il puisse ne pas souffrir quand il repense à son épouse, et quand il est vraiment seul, son regard semble vide, et plus aucun sourire n'étire ses lèvres. Quand il s'en remettra ? La blessure sera longue à guérir... Elle ne se refermera très certainement jamais, par ailleurs.
Sa raison de vivre, de sourire et de tenir le coup, c'est sa fille. Il n'accepte pas l'idée qu'elle puisse le voir dans un sale état, aussi s'efforce-t-il de toujours avoir l'air heureux. Mais quand il l'a dans les bras, il n'a pas que l'air. Il est partagé par l'envie de la voir grandir, s'épanouir, et celle de pouvoir la garder comme elle est, aussi petite et fragile. Il est extrêmement protecteur envers elle, ne sachant pas toujours limiter ses réactions, par peur qu'il lui arrive quelque chose.
Loyal en amitié, il n'hésitera pas à se plier en quatre si un de ses amis est dans le besoin. De plus, même si certains membres de sa famille ne l'apprécient pas vraiment, et qu'ils sont assez éloignés, il sera toujours prêt pour les aider en cas de nécessité. Trop bon, trop con ? Ça reste à voir.
Il est aussi vraiment efficace dans son travail, et il n'échangerait sa place pour rien au monde.
Pas vraiment le genre d'homme à chercher les problèmes, il n’hésitera cependant pas à hausser le ton si on s'en prend à sa fille/à sa famille/à ses amis/au fait qu'il soit cracmol/simplement à quelqu'un auquel il tient [rayer la ou les mentions inutiles en cas de besoin]
Dernier point : Ne vous amusez pas à le faire boire, sa réaction peut varier : Soit il commence à sévèrement déprimer, et là vous vous coltinez un Erik qui peut s'avérer être assez épuisant; soit il devient complètement incontrôlable, et se met à rire pour n'importe quoi, et il est aussi épuisant de cette manière là...
~ Famille et amitié ~
Erik est le fils unique de Sven Syginaar, d'origine danoise, et d'Elfi Hanssen, d'origine suédoise. Ses deux parents sont hippies, accros au cannabis. Il a deux cousins du coté de sa mère, âgés de 23 et 19 ans, et une cousine du coté de son père, âgée de 25 ans. Il a encore un grand-père maternel, et ses deux grands-parents paternels. Tous les membres de sa famille sont de sang-mêlé. En ce qui concerne sa propre famille, il est veuf depuis un peu plus d'un an, et a une fille de deux ans et demi, Elin.
Du coté de ses amitiés, on ne peut pas vraiment dire qu'il y a foule. Trop proche des moldus pour les sorciers qu'il côtoyait, trop dans ses études pour les moldus, personne ne s'est jamais précipité à sa rencontre, mis à part deux personnes. La première étant un moldu, qu'il a rencontré à l'université, en deuxième année, et avec lequel il correspond toujours régulièrement; la deuxième étant un sorcier, qu'il connait depuis son enfance, car il a été éduqué avec lui à Christiania, jusqu'à ce qu'il parte pour Poudlard. Ils tentent de se voir assez régulièrement, ce qui n'est pas toujours évident. Mais ces deux hommes sont vraiment proches de lui, et il ne s'en séparerait pour rien au monde.
Je ne sais pas si on peut qualifier ce dernier point de "famille", mais il a un fléreur, qui s'est attaché à lui quand il est arrivé à Poudlard il y a un an.

~ Histoire ~
"Tout était blanc... Tellement blanc que même le gris le plus pâle aurait entaché cette perfection"


Je sais que, le jour de ma naissance, il neigeait. Je ne m'en souviens pas, mais ma mère me l'a dit. Il parait que c'était le jour le plus blanc au Danemark depuis le début de l'hiver. J'aurai aimé avoir quelques images de Copenhague sous ce manteau froid, mais j'étais alors dans l'incapacité de me rappeler quoi que ce soit. Tant pis. Pendant un peu plus de trois ans, nous avons vécu dans une maison à quelques ruelles du Nihavn, ce canal qui traverse Copenhague en son centre, mais l'addiction de mes parents, ainsi que leurs idéaux, nous menèrent à quelque chose de bien différent. En effet, en 1971, quand Christiania fut créée (vous savez, ce quartier fondé par des hippies, des chômeurs et des squatteur), mes parents furent parmi les premières personnes à y vivre, m'emmenant avec eux. Cette société autogérée, comme on l'appelait, fonctionnait assez bien. Économiquement indépendante, possédant son propre drapeau, sa propre monnaie, on avait l'impression que tout nous différenciait du reste de la ville. Le surnom de "ville libre" lui avait même été donnée. Mais là encore, pendant quelques temps, tout ce que j'enregistrais ne me reviendrait jamais en mémoire.... Tout ce que je sais, c'est que la vie là-bas, même si elle n'était pas toujours évidente, était quand même satisfaisante.

"Pourquoi cette stupide impression d'être le mouton noir dans cette famille ? Cette différence est-elle grave à ce point ?"


Mes parents sont sorciers, tous les deux. Alors ils s'attendaient à ce que ça soit la même chose pour moi. Jusqu'à mes onze ans, ils me parlaient du monde magique, m'expliquaient quelle merveille c'était, tout ce qu'on pouvait faire en étant sorcier. Et moi, je les écoutais, fasciné, mais perturbé. Quels étaient ces sorts dont ils faisaient l'éloge nuit et jour ? Des pouvoirs ? Pourquoi ne connaissais-je pas les miens ? Au regard de mes parents, je savais que je n'étais pas le seul que cette absence de magie inquiétait. "Tu as un peu de retard, c'est tout..." Un peu ? Jamais rien ne vint. J'ai toujours été incapable du moindre sortilège, du moindre sort... Je sais que ça les décevait, même si je n'y étais pour rien... Et je m'en voulais, je m'en voulais pour ce regard triste qui se posait parfois sur moi, alors que je me demandais ce que j'avais bien pu faire pour que ce monde ne soit que très partiellement le mien. Mon père retourna assez rapidement dans le cannabis qu'il avait abandonné avant mes onze ans, mais ma mère ne se découragea pas, comme si elle ne voulait pas voir la vérité en face. Si la pratique magique ne fonctionnait pas, alors je serai incollable en théorie. Et parce que ça lui faisait plaisir, j'appris tout ce que je pouvais : Étude des moldus (qui s'approchaient souvent d'avantage de moi que les sorciers); histoire de la magie; arithmencie; astronomie; et tout le coté de la botanique et du soin aux créatures magiques qui m'était accessible. Ma mère voulait que je puisse briller à ma manière devant ceux qui possédaient ce que je n'avais pas, pour ne jamais me laisser rabaisser. Et ça s'avéra assez efficace. Quand elle m'emmenait avec elle voir des amies, et que leurs fils, sorciers, allaient gentiment se foutre de moi, je pouvais leur prouver que dans beaucoup de matières, j'en savais bien plus qu'eux... Ça contribuait un peu à réduire mon malaise...

En parallèle, je suivais mes études comme le font les moldus, me dirigeant vers une filière scientifique. A peine entré au lycée, je savais que ce que je voulais, c'était la médecine. Autant, dans les matières littéraires qui étaient obligatoires, j'étais un véritable désastre, autant, dans tout ce qui était biologie et compagnie, j'étais en tête de classe. J'étais passionné, et rien ne pouvais m'empêcher de faire ce que j'aimais. Je fis donc des études de médecine à l'université de Copenhague une fois mon premier diplôme en poche, et alors que beaucoup lâchaient l'affaire en première année, je continuais de faire de mon mieux, et de donner tout ce que j'avais.

"Elle... Mon tout, mon être, celle pour qui j'aurai pu mourir... Si seulement j'avais eu ne serait-ce qu'une nuit de plus dans ses bras..."


Quand je l'ai rencontrée, elle, j'avais 23 ans. Elle était en droit, et je ne sais plus pour quelle raison elle est venue me parler, mais de fil en aiguille, nous avons déjeuné ensemble, diné ensemble, nous sommes sortis ensemble, avons dormi ensemble... Elle était moldue, elle était intelligente, elle était magnifique, et même si elle ne correspondait pas à la définition de perfection qu'a le monde, elle était parfaite à mes yeux. Elle était tout pour moi, et je voulais passer mes nuits et mes jours avec elle. Après deux ans de relation, j'avais fermement pris la décision de l'épouser. Mon père n'était pas en état de comprendre quand je le lui avais annoncé, ma mère avait pleuré. De joie ou de tristesse, je ne le savais pas. Elle ne me l'a jamais dit, et ne me le dirai jamais. Alors j'avais fait comme je le sentais. Peu de temps après mon mariage, nous eûmes un enfant. Tout s'était déroulé extrêmement rapidement, et à 26 ans, je sentais que je pouvais assumer. J'en étais capable, puisque j'arrivais à la fin de mes études. Je pourrai assumer financièrement, psychologiquement, physiquement. Ça avait été le cas. Pendant un long moment, d'ailleurs. J'avais un rythme de vie assez dingue, entre ma famille et mon travail, mais j'en étais heureux, et c'était tout ce qui importait pour moi. Et ça aurait pu continuer, s'il n'y avait pas eu cet accident.

C'était le genre de chose qui vous choque plus quand ça vous arrive, ou quand ça arrive à un de vos proches, que quand ça concerne qui que ce soit d'autre. Notre fille avait un peu plus d'un an quand sa mère eut un accident de voiture en revenant de son bureau. Elle fut transportée à l'hôpital Amager, celui où je travaillais à l'époque. Mais je n'ai rien pu faire pour la sauver, rien de plus que qui que ce soit d'autre. Et je n'y pouvais rien, mais je me sentais plus que coupable. Une avalanche de "si seulement..." commença à se faire une place dans ma tête, et la seule raison pour laquelle je ne lâchai pas prise, c'était Elin... Elle avait besoin de moi, besoin que je sois là, que je puisse l'élever sans soucis... Elle n'avait pas besoin d'un père dépressif, ni absent. Elle n'avait pas besoin que quelqu'un d'autre l'éduque. Alors, chaque jour qui passait, je me forçais à sourire, même si tout le monde savait dans quel état d'esprit j'étais. Et peu à peu, lentement, je commençais à faire mon deuil, parce que ma femme n'aurait pas aimé que je passe le reste de ma vie à culpabiliser pour sa mort.

"Ce que je fais là ? Je ne sais pas, mais tout ce qui compte, c'est que j'y sois, non ?"


Il y a un an, à peu de choses près, Tomas, mon ami sorcier qui travaillait au ministère, m'annonça que, pour une raison qui me restait inconnue, il avait discuté avec le directeur de Poudlard, qui lui avait parlé d'une éventuelle recherche d'assistant à l'infirmerie, et que, même si mes pouvoirs semblaient être aux abonnés absents, j'avais certainement suffisamment de connaissances sur le sujet pour pouvoir postuler. Il m'accompagna devant M. Dumbledore et Mme Pomfresh, parce que je n'étais pas vraiment rassuré, pour tout vous dire. L'entretien se passa assez bien, et même s'il était clair que je ne serai d'aucune utilité pour les sorts de soin, Mme Pomfresh m'avoua que je ferai un bon soutien pour tout ce qui était potion ou onguents à appliquer, et que ça lui ôterait une réelle épine du pied. De plus, tout ce qui concernait la paperasse et autre, je pouvais m'en occuper, et elle aurait donc considérablement moins de boulot. Je fus pris à l'essai pour le début de l'année scolaire 1995-1996, et même si tout ce que je voyais pouvais souvent me faire sursauter, j'avais fini par m'habituer et prendre mes marques, et Mme Pomfresh avait finalement décidé de me garder. J’emménageai alors à Pré-au-Lard avec ma fille, et tout se passait assez bien, jusqu'en été 1996...

Je connaissais tout ce qui se disait sur celui qu'on nommait "Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom", sur Harry Potter, et compagnie. Quand le jeune Potter annonça le retour du Seigneur des Ténèbres, la plupart des sorciers ne le crurent pas. En ce qui me concernait, je préférais ne pas me prononcer, j'étais bien trop étranger à tout ça. Mais rapidement, nous avons tous compris qu'il avait raison. Et alors que les ténèbres se font de plus en plus oppressantes, plusieurs questions se posent : Que va-t-il advenir du monde magique ? Peut-on espérer que quelqu'un se lève, frappe du poing sur la table, et vienne lutter contre le Seigneur des Ténèbres et ses Mangemort ? Et, plus personnellement, arriverais-je à éduquer ma fille dans ce monde à la sécurité plus que douteuse ?

~ Test RP ~
Alors que la lumière de la chandelle vacillait doucement, je serrai tendrement ses doigts dans ma main, passant l'autre dans ses fins cheveux d'un blond couleur de blé avant la moisson, bouclant sur toute leur longueur, profitant de leur douce caresse contre ma paume. Elle était mon trésor, celle pour qui je vivrai, celle que je verrai grandir, en espérant que ça n'arrive pas trop vite, pour qu'elle reste toujours "ma petite princesse". Elle m'observait de ses grands yeux bleus, qu'on disait hérités de moi, mais qui me rappelaient constamment sa mère. Penchant doucement sa petite tête sur la droite, un air curieux sur le visage, elle me demanda d'une voix aussi pure que celle d'un ange ce qu'il y avait. Ma main quittait ses mèches blondes pour se poser sur l'une de ses joues rondes, et je lui souriais, de ce sourire sincère qui étirait mes lèvres à chaque fois que je la regardais. Oh, je l'aimais tellement, cette enfant. Mon enfant. Alors que j'étais à genoux devant elle, je finis par m'asseoir en tailleur, vérifiant mon équilibre avant de finalement la prendre dans mes bras, et de la poser sur mes cuisses. Combien de temps encore pourrais-je la porter de cette manière, aussi facilement ? Je doutais que ce soit pour toujours ainsi, mais je voulais que ça dure le plus longtemps possible.

Elle m'observait encore, sans ciller, je la voyais luter pour ne pas cligner des yeux, pour ne pas me lâcher ne serait-ce qu'une seconde des yeux. Elle était mon ange. Mes doigts glissèrent jusqu'à ses côtes, et je commençais à la chatouiller sans prévenir. Son rire en cascade fendit le silence, m'arrachant un rire plus silencieux, plus discret, mais néanmoins réel. Elle se débattait comme un beau diable, essayant de quitter mes bras, mais ses petites mains s'accrochaient à mon pull comme elles le pouvaient. Elle voulait profiter de chaque moment passé avec moi entre l'instant où je revenais de l'école et celui où elle s'endormirait sans prévenir. Elle ne voulait pas s'éloigner de moi, ne serait-ce que le temps d'un soupir, et le savoir me faisait chaud au cœur. Avec toute cette histoire de Mangemort, j'avais tellement peur pour elle... J'avais tellement peur de la perdre, pour une raison ou pour une autre...


« Papa ? »

Son ton inquiet me rappela à la réalité, dont je m'étais éloigné le temps que ces pensées sombres viennent se balader dans mon esprit. Ses fins sourcils clairs étaient froncés, et je la serrai contre moi pour la rassurer. Elle était mon soleil... Je l'aimais chaque jour un peu plus que la veille, et un peu moins que le lendemain... Je savais que si jamais je ne l'avais plus, j'en deviendrai fou. Je l'entendis bailler, de cette manière qu'ont les enfants en tentant de cacher leur bouche de leur main, mais étant parfois bien trop haut, plaquant leur poignet contre leurs lèvres, et je souriais encore. La calant contre mon torse, je passais un bras sous ses petites jambes potelées, l'autre dans son cou et son dos, et je me relevai. Je m'approchai de son lit, la déposai doucement contre le matelas, puis la couvris de sa couette jusqu'aux épaules. Elle lutait pour ne pas fermer les yeux, un sourire fatigué étirant ses lèvres. Encore un peu, toujours un peu plus... Je m'agenouillai devant le sommier, mes doigts se posant sur son front, descendant en un effleurement sur ses paupières, l'incitant à fermer les yeux. Je n'eus pas besoin de m'y reprendre à deux fois, et elle s'endormit rapidement, dans un soupir profond qui prévoyait un sommeil qui le serait tout autant. Je me remis debout, sans un bruit, et m'éloignai en direction de la porte. D'un souffle, j'éteignis la chandelle qui arrivait à la fin de sa vie, une légère odeur de verveine chauffée se répandant dans l'air, et alors que je m'apprêtais à refermer la porte derrière moi, je ne pus m'empêcher de jeter un regard vers ma fille... Et comme tous les soirs, quelques mots franchirent mes lèvres.

« Bonne nuit Elin, dors bien… Papa t’aime, ma puce. »

~ Et vous ? ~
~ Où avez-vous connu le forum ? : Par Daph' =)
~ Âge : 17 ans jusqu'ici
~ Niveau RP : Alors là... Disons que je trouve que je me débrouille
~ Code : Ok par Daph'
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Erik Syginaar [Terminée]

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