Venant d’entrer à l’école, Arthur ne s’est pas encore fait d’amis. En effet, il est assez solitaire et n’a pas encore repérer de gens de son âge qui serait aussi noble que lui. Il sait, bien entendu que de smembres de grandes familles nobles sont à Poudlard, mais dans les années supérieures, ce qui ne l’intéresse guère.

En ce qui concerne sa famille, elle se compose de sa mère, Siobhan, et de son père, Edmund. C’est donc sa famille la plus proche. Siobhan a trent-huit ans, est asses grande, mince et a de longs cheveux noirs. Edmund est plutôt petit, au cheveux bruns mais tout aussi mince que sa femme et son fils. S’ajoute à cela l’oncle d’arthur, frère d’Edmund Lewis, qui a la réputation d’être un peu fou.

Il y a cent ans, Adnae Ó Cearbhail et Dervail Lewis se mariaient. Grands-parents de mon père et Irlandais, ils décidèrent de venir vivre en Grande Bretagne, à Dalston, au sud de Carlisle
Il y a quarante ans, Edmund Lewis, mon père, naissait alors que sa mère mourrait en lui donnant la vie.
Il y a trent-huit ans, ma mère découvrait la vie, dans une noble et vieille famille anglaise, sang-pure, évidemment.
Il y a vingt ans, pour la première fois, mes parents se rencontraient, discutaient, s’aimaient peut-être ? Ils se découvrirent les mêmes valeurs.
Il y a quinze ans, je n’était qu’imaginaire de mes parents. Imaginiare en tant qu’héritier, qu’héritière peut-être mais certainement pas en tant qu’enfant à aimer, à cajoler… Il y a quinze ans également, Lord Voldemort perdait tous ses pouvoirs en tentant du tuer un enfant, Harry Potter, qu'il allait, non pas tuer comme il l'avait prévu, mais en faire la plus grande menace pour sa personne.
Il y a bientôt douze ans, je naissais lors d’un voyage en France, alors que mes parents rendaient visite à une vieille amie de ma mère, qui mourrait peu de temps après m’avoir vu.
Il y a dix ans, mes parents se demandait avec apréhension si je serai bien un sorcier, et non pas un de ces cracmols sans pouvoirs.
Il y a six ans, ils furent rassurés, alors que, lors d'une leçon sur la bonne vie en société particulièrement éprouvante et embêtante pour moi (je détestais ces cours où l'on m'inculquait tout ce que je devais savoir sur la bonne tenue des nobles en public), ma magie se manifesta en faisant voler en tout sens les livres de la bibliothèque où je me trouvais alors. Le phénomène ne dura qu'une poignée de seconde, mais cela suffit à rassurer tout le monde quant à ma nature de sorcier.
Il y a cinq ans, mon éducation avec précepteurs commençait. Je dû apprendre les bonnes manières, une bonne tenue en société, un langage chatié, un maintien parfait, la musique et la danse. J’appris à me vêtir avec soin, à contôler mes émotions, à rester impassible. J’appris à ne jamais montrer de pititié, ni de compassion.
Il y a trois ans, je contrôlais assez ma magie pour ne pas provoquer des incidents lorsque je me mettais en colère, ce qui arrivait encore bien trop souvent au goût de mon père.
Il y a deux ans, mes parents eurent plusieurs discussions concernant mon avenir très proche : fallait-il m’envoyer à l’école ou continuer mon éducation au manoir ? l’école l’emporta mais les discussions n’en furent que plus véhémentes. Le choix de mon école ne s’imposait pas de lui-même… Tout cela alors que le Seigneur des Ténèbres, que mes parents admiraient tant, sans jamais être entré sous ses ordres, cependant, retrouvait sa toute puissance. Ils n'en parlèrent pas au manoir, ce qui était en soit logique, je n'avais pas dix ans. Mais ce changement de situation se ressentit. Mes parents semblaient plus heureux, plus sûr de leur avenir, et du mien. Les prenant en tout temps comme exemple, je me réjouis avec eux, discrètement cependant, les effusions de joies étant bannies de notre famille.
Il y a un an, mes parents avaient enfin arrêté leur choix sur Poudlard. Je m’en réjouissait intérieurement, prenant bien garde à ne pas montrer mes sentiments, quels qu’ils soient. Peu-t-être leur décision était-elle due au fait que le plus grand ennemi du lordnoir n'était plus en jeu. en effet, Harry Potter ne reviendrait pas à Poudlard lors de la rentrée 1996, l'année où j'allais moi-même entrer en première année.
Il y a six mois, je partais sur le Chemin de Traverse avec ma mère, pour acheter mes fournitures scolaires. Nous finirent la journée par l'achat de ma baguette magique faite de bois de cerisier, comme celle de ma mère et ayant un coeur en ventricule de Dragon, comme pour celle d'un oncle un peu fou, frère de mon père, que je n'avais vu que rarement dans ma vie. Ma baguette magique faisait 31, 25 centimètres, et je la trouvais un peu longue, mais je ne doutais pas que sa taille me conviendrait bien dès que je serais un poil plus âgé. Le vendeur me recommanda d'y faire attention, car, bien que souple, elle était également plus fragile.
Il y a quatre mois, j'entrais à l'école, étant répartit à ...

24 juillet 1996.

Le jeune Arthur James lewis venait de se lever. Il n’était pas beaucoup plus tard que 8h, mais le petit déjeuner était servi dans moins d’une demi-heure. Sans sompter le fait que son précepteur arrivait vers 9h. Arthur, donc, se leva, pris une douche rapide et se vêtit avec soin : robe noire sobre, cahaussures vernies et cravate noir, agrémémentée de très fins fils d’argent. Il se coiffa soigneusement les cheveux, afin d’ éviter qu’une m èche rebelle ne s’échappe, ce qui aurait fait très mauvais genre, et lui aurait valu une ramarque acerbe de la part de son père, ce que le jeune garçon voulait éviter à tout prix.

Moins de dix minutes plus tard, donc, il descendit dans la petite salle à manger pour prendre son petit déjeuner. Sa mère était déjà présente et il alla donc l’embrasse sur la joue, lui demandant si elle avait passé une bonne nuit. Sa réponse fut positive et elle invita aussitôt son fils unique à s’asseoir et à commencer à manger. Il obéit, se servit modérément et commença à manger en silence.

Le petit déjeuner fut vite fini, et la table vite débarassée par deux elfes de maisons, mais Arthur comme sa mère restèrent à table. Atrthur attendait l’aval de sa mère pour partir, mais il ne lui sembalit pas qu Siobhan l’autoriserait à quitter la table. Il jetta un œil à la grosse horloge se trouvant au dessus de la cheminée de marbre et vit qu’il était dèjà 8h40. Il ne lui restait que 20 minutes avant le début de ses cours. Il lança un regard interrogateur à sa mère qui ne le lui rendit pas. En fait, elle ne le regardait même pas. Il resta donc silencieux encore une dizaine de minutes avant de toussoter nerveusement et de prendre la parole d’une voix mal assurée, bien que claire :

- Mère ? Puis-je sortir de table ? M. mon Précepteur ariive dans très peu de temps.
- Vous n’aurez pas cours aujourd’hui mon fils. Vous n’aurez d’ailleurs plus cours du tout. Dès septembre vous commencerez l’école à Poudlard. Voici votre lettre.

La femme tendit un parchemin à son fils, qu’il déroula avec fébrilité, découvrant petit à petit le lettre de Poudlard, comme des milliers d’enfant avant lui, avec un mélange de joie et d’appréhension.

Spoiler:

Une fois sa lecture finie, il le va les yeux vers sa mère, un sourire incertain sur le visage et, après un instant d’hésiation, alla l’embrasser à nouveau, la remerciant chaleureusmennt. L’ombre d’un sourire apparut sur les lèvres de Siobahn avant de disparaître pour laisser la place à une voix quelque peu amusée.

- C’est votre père que vous devrez remercier ce soir, mon fils.

Avec un signe de tête, Arthur pris la lettre et remonta dans sa chambre, heureux d’avoir appris que son éducation ne serait pas prise en charge seulement par des précepteurs. L’école lui permettrait d’apprendre la magie, de devenir puissant et craint. Respecté également. Enfin, il pourrait prouver sa valeur à ses parents, enfin il pourrait leur prouver qu'il était l'héritier digne de la famille.